Henri Toulouse-Lautrec, Félix Plessis et René Princeteau
(dans les années 1890), Photo collection INJS Paris.
Une photographie très rare, il s’agit d’Henri de Toulouse-Lautrec, Félix
Plessis et de René Princeteau en train de boire un apéritif.
La statue de l'abbé de l’Épée qui se trouve sur la photographie est actuellement installé sur la façade de l'association des sourds de Reims et de Champagne.
Henri de TOULOUSE-LAUTRC, né Henri Marie Raymond de
Toulouse-Lautrec-Monfa le 24 novembre 1864 à Albi et mort le 9 septembre 1901 au château Malromé à Saint-André-du-Bois, est
un peintr, dessinateur, lithographe et illustrateur français.
Il fut
l'élève de René Princeteau qui devint
ensuite son ami. Sa propriété de Malromé se trouvait à seulement 2 kilomètres
de Pontus, qui appartenait à Princeteau.
Élève au Lycée Condorcet, il échoue
en 1881 au baccalauréat à Paris, mais est reçu à Toulouse à la session d'octobre. C'est alors qu'il décide de
devenir artiste. Soutenu par son oncle Charles et par René Princeteau, ami de
son père et peintre animalier, il finit par convaincre sa mère. De retour à
Paris, il rend visite à René Princeteau, dans son atelier au 233, de la rue du Faubourg-Saint-Honoré.
Félix PLESSIS,
sourd-muet, sculpteur, ami de Princeteau et Toulouse-Lautrec.
Ami
d’Alphonse de Toulouse-Lautrec, il a d’abord comme élève son frère Odon puis
devient le premier maître d'Henri de Toulouse-Lautrec dès 1871. Il était très lié avec la famille Lautrec, en particulier avec
le comte Alphonse et, très régulièrement, il leur rendait visite. Bien qu'il
fût sourd et muet, il enseigna à Henri, qui l'appréciait beaucoup, les premiers
rudiments de l'art pictural.
Pendant la Guerre de 1870, il s'engage dans l'artillerie de l'armée de la
Loire. Le peintre accumule alors dans ses carnets beaucoup de notes et de
dessins. Il accède à la notoriété avec ses peintures de chevaux au Salon de
1885. Il réalise de nombreux tableaux de chasse à courre, de
courses, ainsi que des paysages et des portraits équestres. Ses
premières études animalières dénotent une forte influence de Princeteau.
Pendant quelque temps, Lautrec habita dans son atelier parisien au n° 233 du
Faubourg Saint-Honoré.
Source (Wikipédia)
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